Le cercle centriste de réflexion et de propositions sur les enjeux internationaux

Marielle de Sarnez, une Européenne engagée pour l’avenir démocratique de la Syrie

« Monsieur le Président, quel rôle doit jouer l’Europe dans des pays dont les régimes sont mis en cause par les peuples, mais dont les dirigeants restent sourds aux appels réitérés à plus de démocratie, à de vraies réformes structurelles et à un développement plus juste ? Voilà la question qui nous est posée ! Il y a pour moi une première réponse. Elle est d’urgence. L’Union doit peser de tout son poids en utilisant tout l’arsenal de sanctions dont elle dispose pour obtenir l’arrêt de la répression, la libération immédiate des prisonniers politiques et des journalistes. Elle doit soutenir la mise en place d’une commission d’enquête indépendante sur les faits commis et appeler à une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme. Sur le moyen terme, je crois qu’il nous faut revoir en profondeur nos relations avec ces pays. L’Union européenne doit désormais s’afficher comme étant clairement du côté des opinions publiques, du côté des peuples et non des pouvoirs en place. À cette fin, l’Union doit instituer et conduire un dialogue permanent avec toutes les forces de la société civile, avec tous ceux qui veulent faire émerger la démocratie et les responsables des oppositions. »1 Ainsi s’exprimait l’eurodéputée Marielle de Sarnez lors d’un débat organisé au Parlement européen le 6 avril 2011 à propos de la situation en Syrie, à Bahreïn et au Yémen, trois pays traversant alors ce qu’on appelait déjà les Révolutions arabes ou le Printemps arabe. Beaucoup d’eau, d’encre et, malheureusement, de sang ont coulé depuis cette déclaration et ces évènements. Dix années ont passé, des centaines de milliers de personnes ont été tuées en Syrie en particulier, des millions d’autres réfugiées ou déplacées, des dizaines de milliers continuent de croupir en prison dans des conditions sordides, tandis que les destructions matérielles sont considérables. Pendant ce temps, le régime dictatorial de Bachar Al-Assad, dont la responsabilité dans ce désastre est écrasante, a non seulement tenu mais il reprend progressivement le cours de sa vie autrefois habituelle, aussi bien ses relations diplomatiques que sa façade démocratique à l’image des récentes « élections » présidentielles2. Face à l’évolution tragique de la situation en Syrie, face à la résilience du régime d’Al-Assad, à la mobilisation en sa faveur de l’Iran et de la Russie, à l’émergence, sur ce terreau fertile, de mouvements djihadistes aux ramifications internationales, l’Europe s’est révélée bien impuissante. Elle a payé le prix à la fois de sa proximité géographique et de cette impuissance politique, en subissant l’afflux massif de réfugiés syriens (et le chantage aux réfugiés de la Turquie), la pression accrue sur d’autres fronts d’une Russie ragaillardie et plusieurs attentats terroristes. Ce démenti par les faits des aspirations exprimées en 2011 par Marielle de Sarnez invalide-t-il ces aspirations ? Faut-il considérer comme fatales aussi bien la marginalisation géopolitique de l’Europe que celle de ses valeurs humanistes et démocratiques ? Faut-il regarder avec dédain ou ironie l’empressement qui fut celui de beaucoup d’Européens en cette année 2011 à condamner sans ambages les violations éhontées, par le régime syrien et ses homologues d’autres pays de la région, des droits humains les plus fondamentaux et à demander des comptes, des sanctions ? Au contraire, il faut rendre hommage à ceux, dont Marielle de Sarnez, qui ont continué malgré les vents contraires, à s’intéresser au sort des Syriens, avec humanité et sens de la justice, mais sans naïveté, par souci d’efficacité de l’action politique. Le parcours de cette figure engagée du Centre français et européen, ses prises de position et ses actions régulières en lien avec la crise syrienne dessinent une feuille de route qui nous semble judicieuse, malgré tout.

La lutte pour la démocratie

N’oublions jamais le courage de ces Syriens, de ces Arabes, qui dans les mois suivant l’immolation du Tunisien Mohamed Bouazizi ont voulu, avec des moyens pacifiques, hâter le changement politique de cette région jusque-là politiquement figée dans l’autoritarisme le plus pathétique. Ce courage et l’événement historique qu’il a rendu possible ont soulevé l’enthousiasme de tous les démocrates à travers la planète. Marielle de Sarnez en était, elle qui a soutenu, dès les premières semaines, on l’a vu, les aspirations des Syriens au respect de leur dignité, à la liberté, à la justice, et condamné sans ambiguïté le régime de Damas (opposée en 2008 au Président Nicolas Sarkozy lorsque celui-ci avait invité Bachar Al-Assad aux célébrations du 14-Juillet3, elle n’avait pas pour cela besoin de passer par quelques contorsions). La démocratie n’est pas réservée à l’Occident, le monde arabe n’est pas voué à rester sous l’emprise de régimes autoritaires, l’expression libre des peuples de la région n’est pas une menace pour la stabilité et la sécurité de l’Europe et de son voisinage, telles sont les convictions des démocrates, contre la pratique « réaliste » de tant d’Etats y compris occidentaux prêts à toutes les concessions par peur des dynamiques des sociétés civiles, et contre l’assignation essentialiste des pays musulmans à résidence non-démocratique. L’exemple de l’intervention américaine en Irak en 2003, contre-modèle par excellence de la promotion des droits de l’Homme et de la démocratie, n’est pas suffisant pour disqualifier le principe d’universalité des droits de l’Homme et de la démocratie, au cœur de la Déclaration universelle des droits de l’Homme (DUDH) adoptée en 1948, à Paris, par 48 des 58 États Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale de l’ONU, parmi lesquels, rappelons-le, la Syrie, l’Iran, la Chine ou la Turquie4. Seule la façon de les promouvoir est ici en cause.

La mission de l’Europe

La France, par sa Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen et à travers la figure de René Cassin, grand résistant devenu rapporteur du projet de DUDH, a joué un rôle central dans l’élaboration de ce document fondamental. Depuis, l’Europe s’est construite autour des mêmes valeurs humanistes et démocratiques de dignité, de liberté, d’égalité, de solidarité, de citoyenneté et de justice, aujourd’hui précisées dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, proclamée en 2000. Elle s’est mobilisée pour les défendre et les promouvoir avec les seules armes de la conviction et du droit, dans le respect de l’histoire de chacun. Les démocrates français et européens poursuivent aujourd’hui cette noble mission.

En novembre 2011, lors d’une réunion de l’Alliance mondiale des démocrates, aux côtés de Burhan Ghalioun, alors président du Conseil national de transition syrien, Marielle de Sarnez précisait encore cette mission à propos des transitions démocratiques initiées dans le monde arabe : « l’Europe doit être un acteur fiable et prendre toute sa part dans cet accompagnement [des transitions démocratiques]. Il faut que l’Europe aborde la question des révolutions avec humilité car souvent les Etats ont eu des relations étroites avec ces anciens régimes (…). Il nous faut réfléchir ensemble au système de veto de l’ONU, il est invraisemblable que les autorités ne condamnent pas lorsque la mort est quotidienne (…). Il faut un partenariat sincère avec les pays de la Méditerranée. Nous devons avoir des relations avec les dirigeants mais aussi avec les peuples. Il faut mener une réflexion sur les valeurs universelles (laïcité, droit des femmes…) et à chacun en revanche de construire sa propre histoire »5.

Les années suivantes, alors que l’ONU et l’Union européenne se trouvaient de plus en plus isolées sur le terrain diplomatique, que leurs valeurs étaient toujours plus foulées au pied, d’autant plus que les Etats-Unis eux-mêmes s’en détournaient de plus en plus, Marielle de Sarnez n’a pas cessé d’appeler au sursaut des dirigeants européens pour relever le flambeau de ces valeurs et doter l’UE des moyens diplomatiques et de défense nécessaires à leur affirmation6.

La question des réfugiés

Cet espoir de voir l’Union européenne agir en Méditerranée avec humilité certes mais vigueur, imagination et constance, elle l’a aussi porté sur le terrain des migrations. Dès 2012, avec ses collègues du groupe des libéraux et démocrates au Parlement européen, elle s’inquiétait du faible degré d’anticipation par les autorités européennes de l’afflux prévisible de réfugiés depuis la Syrie7. Cette inquiétude malheureusement confirmée lors de la crise migratoire de 2015, elle ne cessera par la suite de dénoncer leur manque d’anticipation. A l’occasion de cette crise migratoire, dont elle témoigne au retour d’une mission dans les Balkans à la rencontre des réfugiés à la fin de l’été 20158, elle rappelle que cet afflux des migrants est l’affaire de tous et demande qu’on mette enfin en place le contrôle commun des frontières extérieures de l’Union, à travers par exemple la constitution d’un corps bien doté de garde-côtes européen, et la nécessaire politique migratoire et d’asile commune, fondée sur une double solidarité envers les migrants eux-mêmes et entre États européens, au profit en particulier de ceux (la Grèce, l’Italie, etc.) qui, isolés en première ligne, font directement et difficilement face à cet afflux9. Cette dénonciation, ces principes et ces idées, Marielle de Sarnez les réitérera et développera encore en 2018, dans son rapport pour avis, rédigé au nom de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, sur le projet de loi du gouvernement français « pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif »10. Un rapport dans lequel elle défend une approche globale des migrations, attentive à leurs causes structurelles, soucieuse du parcours de vie des migrants, mais ferme quant au respect de l’Etat de droit, qui conditionne l’acceptation des migrants par les communautés d’accueil.

Face à la nouvelle géopolitique du conflit syrien

A partir de l’année 2013, les motifs d’espoir dans une sortie de la crise syrienne se sont largement évanouis. La Révolution de 2011 s’est enlisée, sous l’effet du jusqu’au-boutisme du régime d’Al-Assad, et a bientôt pris la forme d’une terrible guerre civile, opposant un nombre croissant de factions liées aux forces d’Al-Assad, aux oppositions démocratiques à ce dernier et aux mouvements islamistes radicaux de plus en plus présents, chacune bénéficiant du soutien de parrains régionaux et internationaux, aux premiers rangs desquels l’Iran, la Russie, la Turquie, les pays du Golfe et les Etats-Unis. Parallèlement, les processus diplomatiques se trouvaient bloqués par la complexité des rapports de forces. Tandis que les Occidentaux refusaient in extremis de sanctionner militairement à l’été 2013 le régime d’Al-Assad après son usage avéré d’armes chimiques contre sa propre population, la nouvelle menace plus directe représentée par la spectaculaire montée en puissance de l’organisation djihadiste de l’Etat islamique les conduisait cette fois à former courant 2014 une coalition militaire contre cette dernière. En 2016, un an après les terribles attentats de Paris (en janvier et novembre 2015) commis par des cellules affiliées à l’Etat islamique et à Al-Qaïda, Marielle de Sarnez analysait de manière forte et claire la nouvelle tournure géopolitique du conflit syrien en dénonçant la stratégie du régime d’Al-Assad et de son allié russe qui consistait à détruire toute opposition légitime pour mieux s’imposer cyniquement comme seul « rempart » face à l’Etat islamique11. En réalité, ce dernier se révélait l’allié objectif aussi bien de l’axe syro-russe que de la Turquie, au détriment de la société civile et des oppositions démocratiques, débordées par les mouvements islamistes plus radicaux et mieux soutenus, et des forces kurdes, honnies par la Turquie, qui apparaissaient désormais comme les seules forces locales réellement engagées contre l’Etat islamique. Marielle de Sarnez n’en défendait pas moins la priorité donnée à la lutte contre l’Etat islamique et les autres groupes djihadistes sur la base du rejet absolu, largement partagé, d’une idéologie totalisante mortifère, destructrice de la diversité ethnique et religieuse qui fait la richesse plurimillénaire du Moyen-Orient. A ses yeux, cette lutte devait cependant non seulement inclure un volet militaire, légitimé par le mandat onusien, mais aussi la stabilisation de la situation en Syrie et la concrétisation d’une solution politique permettant de consolider l’Etat syrien sur une base démocratique12.

La question des minorités et le combat des Kurdes contre l’Etat islamique

Quoique sensible au triste sort des minorités religieuses, notamment chrétiennes, du Moyen-Orient (dès octobre 2011, elle cosignait une proposition de résolution du Parlement européen de soutien aux communautés chrétiennes de Syrie et d’Egypte13), Marielle de Sarnez ne s’est pas laissée prendre au piège tendu par une certaine droite française qui consiste à soi-disant défendre les minorités persécutées pour mieux s’en prendre à l’islam et faire le jeu des Etats autoritaires. De ce piège les chrétiens d’Orient eux-mêmes sont les premières victimes, car leur unique espoir repose sur leur bonne intégration au sein de communautés nationales à majorité musulmane, dont ils sont parties prenantes depuis plus d’un millénaire. En revanche, Marielle de Sarnez s’est engagée franchement en soutien des forces kurdes en lutte contre l’Etat islamique et porteuses en Syrie d’un projet politique qui, en dépit de limites importantes, accorde aux femmes des responsabilités sans équivalent dans la région. Fin mai 2019, elle a conduit une délégation de parlementaires français dans le Kurdistan syrien pour « exprimer [sa] reconnaissance à tout le monde dans cette région, en particulier aux combattants qui se sont battus contre la barbarie »14. Accompagnée de l’écrivain-aventurier Patrice Franceschi, auteur de plusieurs livres rendant hommage aux combats des Kurdes de Syrie15, et de Khaled Issa, représentant en France de l’Administration autonome du Rojava, elle a notamment visité le cimetière des combattantes tombées à Kobanê et la ville de Raqqa, ancienne « capitale » syrienne de l’Etat islamique libérée en octobre 2017 par les « Forces démocratiques syriennes » (FDS) à dominante kurde. Quelques mois plus tard, le 30 octobre 2019, sa proposition de résolution condamnant l’offensive turque contre les forces kurdes du nord-est de la Syrie et affirmant le soutien indéfectible de la représentation nationale française aux FDS était votée à l’unanimité par l’Assemblée nationale16.

Dix ans après le soulèvement optimiste de la Révolution syrienne, la Syrie est un pays profondément meurtri, fragmenté et occupé par des puissances régionales et internationales non-européennes (Russie, Iran, Turquie, Etats-Unis, Israël)17. L’Europe voisine peut au contraire s’honorer d’être le principal pourvoyeur d’aide humanitaire du peuple syrien (les cinq conférences de Bruxelles ont à chaque fois permis de lever plusieurs centaines de millions d’euros à cette fin). Alors que des centaines de Syriens ou d’amis de la Syrie documentent depuis le début du conflit les crimes commis dans le pays, des tribunaux de pays européens commencent aussi à poursuivre et condamner des membres du régime syrien et d’organisations djihadistes suspectés de crimes de guerre ou de crime contre l’humanité18, levant un peu de l’impunité dont ceux-ci se prévalaient jusque-là et ranimant le mince espoir d’une paix dans la justice pour la Syrie future. Cependant, l’Europe s’est révélée incapable de peser dans le jeu géopolitique et diplomatique pour accélérer la solution politique tant attendue et elle a géré avec beaucoup de difficultés les conséquences notamment migratoires de cette crise. C’est moins l’Europe en soi qu’il faut critiquer ici que l’absence d’Europe unie et organisée sur ces enjeux déterminants.

Soutenir toutes les personnes qui luttent pour leur dignité d’hommes et de femmes libres dans un cadre démocratique, contre la violence et le cynisme des dictatures comme des fondamentalismes religieux, convaincre de la nécessité d’une Europe forte de ses valeurs humanistes et démocratiques, dotée d’une véritable capacité d’anticipation des risques, de défense face à ces risques, de contrôle de ses frontières et de ses flux migratoires en particulier, actrice géopolitique capable de peser dans les rapports de force internationaux au nom et au profit de ses valeurs universelles, telle est la feuille de route dessinée par Marielle de Sarnez. Honorer sa mémoire, c’est vouloir poursuivre cette feuille de route.

Crédits photographiques (Marielle de Sarnez saluant un bataillon féminin des FDS, en Syrie, au printemps 2019) : image transmise par l’équipe parlementaire de Mme de Sarnez


Pierre-André HERVÉ est cofondateur et Président du Cercle Agénor. Consultant indépendant spécialisé en gestion des risques internationaux (Moyen-Orient, en particulier), il rédige par ailleurs une thèse de doctorat à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) sur l'histoire du confessionnalisme politique au Liban. Diplômé de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne (géographie, 2010) et de SciencesPo (sécurité internationale, 2013), il a occupé diverses fonctions dans les secteurs public et privé. En 2017 et 2018, il était conseiller sur les affaires étrangères et la défense du groupe MoDem à l'Assemblée Nationale.

Notes

  1. Prise de parole de Marielle de Sarnez lors du débat du 6 avril 2011 au Parlement européen sur la déclaration de la vice-présidente de la Commission et haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Mme Ashton, sur la situation en Syrie, à Bahreïn et au Yémen, URL : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/CRE-7-2011-04-06-ITM-013_FR.html
  2. Selon un communiqué daté du 28 mai 2021 de l’agence nationale de presse syrienne SANA, Bachar Al-Assad, réélu président, a obtenu plus de 95% des voix, avec un taux de participation de plus de 78% des 18 millions d’électeurs inscrits, des chiffres très peu crédibles au regard de la situation démographique du territoire restant aujourd’hui sous contrôle du régime syrien, URL : http://sana.sy/en/?p=235531
  3. Interview de Marielle de Sarnez, Le Figaro, 8 juillet 2008, URL : https://www.lefigaro.fr/le-talk/2008/07/08/01021-20080708ARTWWW00458-sarnez-.php
  4. Aucun État-membre ne s’est opposé à cette déclaration, mais 8 États se sont abstenus dont l’URSS, ancêtre de l’actuelle Russie, et l’Arabie saoudite. Précisons toutefois que les régimes politiques de la Syrie, de la Chine et de l’Iran ont singulièrement évolué depuis 1948. Le compte-rendu des débats et le détail des votes sont accessibles sur le site de l’ONU, notamment ici : https://undocs.org/en/A/PV.183
  5. Compte-rendu du Congrès du Parti démocrate européen, à Rome, les 10 et 11 novembre 2011, Mouvement démocrate, 4 janvier 2012, URL : https://www.mouvementdemocrate.fr/archives/congres-du-pde-rome-un-chemin-pour-sortir-de-la-crise-image-43-image
  6. Voir, par exemple, cet extrait de la lettre d’information mensuelle de Marielle de Sarnez, décembre 2016, URL : https://www.mouvementdemocrate.fr/archives/face-la-tragedie-syrienne-lue-doit-se-doter-de-moyens-diplomatiques-et-de-defense-de-ses
  7. Question parlementaire de Marielle de Sarnez et 13 autres membres du groupe ALDE à la Commission européenne, 18 octobre 2012, URL : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/O-7-2012-000172_FR.html
  8. Interview de Marielle de Sarnez, Europe 1, 17 septembre 2015, URL : https://www.europe1.fr/emissions/L-invite-d-Europe-1-Nuit/sarnez-les-syriens-fuient-autant-daech-que-bachar-el-assad-2516051
  9. Voir notamment sa tribune dans le Huffingon Post, le 20 mai 2015, où elle esquisse une politique migratoire commune fondée sur 7 idées et principes, URL : https://www.huffingtonpost.fr/marielle-de-sarnez/comment-agir-pour-une-meilleure-politique-migratoire_b_7313278.html
  10. Rapport pour avis de Marielle de Sarnez sur le projet de loi pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif, Assemblée nationale, 28 mars 2018, URL : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/rapports/cion_afetr/l15b0821_rapport-avis
  11. Extrait de la lettre d’information mensuelle de Marielle de Sarnez, décembre 2016, URL : https://www.mouvementdemocrate.fr/archives/face-la-tragedie-syrienne-lue-doit-se-doter-de-moyens-diplomatiques-et-de-defense-de-ses
  12. Voir par exemple l’entretien de Marielle de Sarnez, devenue ministre des Affaires européennes, avec RTL le 4 juin 2017, URL : https://www.vie-publique.fr/discours/202943-extraits-dun-entretien-de-mme-marielle-de-sarnez-ministre-des-affaires
  13. Proposition de résolution commune du Parlement européen sur la situation en Égypte et en Syrie, en particulier pour les communautés chrétiennes, adoptée le 27 octobre 2011, URL : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/RC-7-2011-0542_FR.html
  14. Bulletin de liaison et d’information de l’Institut kurde de Paris, n°411, juin 2019, URL : https://www.institutkurde.org/publications/bulletins/411.html
  15. Voir l’hommage rendu par Patrice Franceschi à Marielle de Sarnez dans ce numéro, pp. 12-14.
  16. Résolution de l’Assemblée nationale portant sur la condamnation de l’offensive militaire turque dans le Nord-Est syrien, adoptée le 30 octobre 2019, URL : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15t0346_texte-adopte-seance
  17. L’Institute for the Study of War (ISW), basé à Washington, propose une veille cartographique régulière sur la situation politique et militaire en Syrie, voir par exemple son rapport de situation de mars-avril 2021 ici : http://www.understandingwar.org/sites/default/files/SYRIA%20SITREP%20MAR%2022-APR%2019.pdf
  18. Stéphanie Maupas et Madjid Zerrouky, « Le long combat contre l’impunité des criminels du régime de Bachar Al-Assad », Le Monde, 18 mars 2021, URL : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/03/18/le-long-combat-contre-l-impunite-des-criminels-du-regime-syrien_6073535_3210.html

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